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Articles tagged with: Ayn Warda

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[8 Jul 2012 | No Comment | 196 views]

Jabbour Douaihy’s novels remain, for the non Lebanese readers, works of pure fiction; minute jewelry made by the imagination of a man of talent ranging between modesty and compassion, the most refined sarcasm and bitterness the most painful and understandable. Douaihy tells the story of his Lebanon, and does not submit her to judgments, nor to philosophy or psychoanalysis. The reader rooms around, or rather, he roams jubilant in Douaihy’s imaginary multi-facetted world, with all its contradictions and conflicts, which, as a mosaic, does not reveal its beauty unless it is viewed from a distance. This is the meaning of the virtual camera Douaihy’s look…

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[1 May 2011 | No Comment | 193 views]

Diwan Dar Abdellatif welcomes Jabbour Douaihy in Algiers on May 7th.

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[13 May 2009 | No Comment | 136 views]

Maison en ruine
‘Politis’, 7 mai 2009
Seules les familles déchues sont itéressantes. Les Baz, famille de la bourgeoisie chrétienne installée dans le bourg d’Ayn Wardeh, sur les hauteurs de Beyrouth, ont eu leur heure d’opulance, du temps de feu le patriarche Francis, qui a failli être élu député. mais à l’image d’un pays détruit par la guerre civile, en ce début des années 1990, la vieille Nohad n’a plus qu’une demie heure de lucidité par jour.

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[26 Mar 2009 | No Comment | 253 views]

Bienvenue au «Rose Fountain Motel» de Jabbour Douaihy | La chute de la Maison Baz
Le Rose Fountain Motel, c’est le rêve de Margaret, l’épouse autrichienne de Jojo. Elle se verrait bien installer dans la maison familiale un hôtel, chaque chambre aurait une couleur différente, à la cave on ouvrirait un restaurant français qu’on appellerait Le faucon, al-Baz en arabe. Al-Baz, c’est le nom de la famille de son mari.

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[18 Feb 2009 | Comments Off on La Croix, France, on Ayn Warda | 172 views]

Dans le village de Ayn Wardeh, sur les hauteurs de Beyrouth, la maison des AI Baz abrite dans chaque pièce les souvenirs d’une grandeur aujourd’hui disparue. A la mort du père, les deux fils, Jojo et Reda, se retrouvent chez le notaire et doivent se render à l’évidence: ils ne peuvent se séparer de ce lourd héritage. Car selon la loi au Liban, les biens de mainmorte ne peuvent être ni vendus, ni partagés, tant que les deux héritiers, en l’occurrence les deux frères, sont vivants. «Cette famille chrétienne est bloquée à cause de la mainmorte, comme le Liban est bloqué par son communautarisme, explique l’auteur, Jabbour Douaihy. Les libanais n’ont d’autre choix que de vivre ensemble parce qu’ils ne peuvent pas diviser le pays ».

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[25 Jan 2009 | No Comment | 115 views]

Histoire d’une famille autant que fresque sociale, ce roman, le quatrième de Jabbour Douaihy, se distingue par un va-et-vient constant entre la gravité du propos et l’humour le plus diabolique. Il a été salué à sa parution en arabe par une presse unanime.